L'aventure Onirique
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon EV6.5 : où trouver le Bundle Lot 6 Boosters Fable ...
Voir le deal

Leafa Blizze, une nature de terre et de glace

Aller en bas

Leafa Blizze, une nature de terre et de glace Empty Leafa Blizze, une nature de terre et de glace

Message par Evan Asarimé Sam 16 Mar - 2:26

Leafa Blizze

Leafa & le Givrocéphale:

Nom : Blizze
Prénom : Leafa
Race : Dryade
Peuple de la nature, les Dryades sont composés majoritairement de femmes, bien que quelques mâles naissent de temps en temps. Les Dryades ont des couleurs majoritairement vertes, parfois tendant vers le jaune ou le turquoise, voir le blanc. Des attributs végétaux peuvent pousser sur leur corps, et ont tendance à utiliser seulement cela pour s’habiller. Ils sont des êtres proches de la nature et prônant la paix, ne se mélangeant que très rarement aux autres peuples. Il arrive cependant que certains prennent les armes pour défendre leurs proches des faunes trop agressives ou d’intrus leur voulant véritablement du mal, pour ceux qui arrivent à les trouver. Les Dryades, considérés comme des esprits de la forêt, en prennent soin. Ils sont également capables de photosynthèses et ont une croissance plus lente que les autres races. Enfin, ils ont tendance à naitre sous les étoiles de la Terre Nourricière.
CO d’arrivée : 990

Univers : L’univers des étoiles
Un univers où tous les habitants peuvent naître sous la bénédiction d’une étoile, celles-ci réparties selon différentes catégories. Les étoiles des flammes ardentes, les étoiles de la terre nourricière, les étoiles des flots tonitruants ou encore les étoiles des vents divins. Chacune de ces étoiles sont réparties en différents dons. D’autre part, il existe les étoiles neutres, qui elles au lieu d’offrir un don lié à un élément, offrent des qualités exceptionnelles en terme d’esprit, et autres. Chaque peuple ont leur catégorie d’étoile, mais tous ont une chance de naître quand même sous une étoile autre que celles associées à leur race.

Leafa est né, sous l’étoile de la Terre, dans une région de leur immense forêt près de froides montagnes. Un petit village, si l’on peut appeler ça comme ça, baigné dans une ancienne légende peu connu du reste de la forêt, et du monde en général. Une histoire locale, qui pourtant a trouvé ses fondements et s’est révélé réalité.

« Il y a des années de cela, dans la tribu Sylvestra au pied du mont Fu, se perpétuait une tradition consistant en un rituel destiné à leur Déesse Fyrolia. Un rituel de paix et de soins à la nature. Malheureusement, un groupe d’opposant s’était formé, majoritairement composés de Dryades à étoiles ne provenant de la Terre Nourricière. Se sentant comme éloignés de la forêt, ces Dryades commencèrent à influencer d’autres pour les rallier à leur cause. Rapidement, la plupart s’opposant à eux, dans leur tradition de paix, ces opposants furent rapidement qualifiés de Dryades dangereux et furent surnommés les Mancenilliers. Considérés comme sorciers ou sorcières, ils furent bannis dans la profonde forêt du Mont Fu.

Les Mancenilliers, abandonnés dans une forêt composée d’arbres du même nom que leur surnom, extrêmement toxiques, seraient rapidement devenus fous. Les arbres furent les seuls êtres vivants avec qui ils pouvaient communiquer. Leur isolement était tel qu’ils finirent par fusionner peu à peu avec les arbres morts, comme pour ne faire qu’un avec les plantes, seules choses vivantes acceptant de les écouter. Cette forêt était devenu leur territoire. Devenus violents, ils chassèrent sans répits les intrus, les déchiquetant à l’aide de bras boisés, la plupart gelés grâce à une étoile d’eau tonitruante. Cependant, incapable de perpétuer leur espèce, ils décidèrent, pour se venger des autres Dryades, de maudire cette forêt afin qu’elle soit à jamais inhabitée par ceux qui les avait repoussé.

Leur corps avait finit par totalement devenir qu’un avec les arbres morts, devenus éternels, tandis que leurs souvenirs se matérialisèrent en une féroce bête, le Givrocéphale. Son souffle froid serait celui de la mort. Les Dryades s’aventurant ici seraient alors pourchassés à jamais jusqu’à la mort par la créature, ou à être congelé pour l’éternité…

On raconte qu’aujourd’hui encore, on entendrait les cris déchirants de la créature émaner de cette forêt redoutée par la vie elle-même. Cependant, seule une personne qui partagerait le même sang, la même sève que ces Dryades serait en mesure d’apaiser la bête et leur âme, comme s’ils cherchaient au plus profond d’eux-mêmes le pardon, et le repos qui leur a été refusé par la Déesse. »

Leafa fut élevé en connaissance de ce récit, le dissuadant au plus haut point d’aller s’aventurer dans cette froide forêt. Néanmoins, au-delà de la peur que cela lui infligeait, une certaine curiosité et fascination pour ces êtres rejetés et cette portion de la forêt ne cessait de croître en lui. Cependant, jamais au point de lui donner envie de s’y aventurer. C’est selon cette fascination qu’il fit travailler son esprit créatif en grandissant pour s’imaginer des griffes de bois qu’il confectionna, tout en les consolidant à l’aide de son pouvoir de terre. Des griffes qu’il trouva utile si jamais il devait à tout prix se défendre d’une faune agressive, tout comme cela lui était utile pour grimper aux arbres. C’était un long travail, sur plusieurs mois, tant il devait polir, tailler, renforcer…

Suite à des tragédies arrivées à son village et une dangereuse aventure dans la forêt gelée, Leafa se dirigea vers le sanctuaire, révélant à la guide spirituelle des Dryades Mélias le pacte passé avec le Givrocéphale. Celle-ci, ayant connaissance de toutes légendes et rumeurs de la forêt, acquiesça paisiblement, rassurant Leafa sur sa signification. Il était certes un héritier des Mancenilliers, mais cela ne faisaient pas de lui une mauvaise personne. Au contraire, les âmes tourmentées trouveraient enfin un repos, et le Givrocéphale ne serait plus un danger.

C’est par la suite qu’il devint un envoyé de Mélias, chargé de transmettre la paix au monde qui les entourait.

Pacte : Pacte réalisé avec un Givrocéphale.
Créature extrêmement rare vivant dans des coins reculées des zones les plus enneigées, elles n’ont besoin que très rarement de s’approvisionner. Celle-là provient de la forêt interdite du Mont Fu, suite à un ensorcellement de la part des Mancenilliers. Ces monstruosités étaient pour ainsi dire quasiment jamais vues et particulièrement redoutées. Celui-là en particulier arborait une tête monstrueuse, gelée, aux multiples yeux dégageant la rancœur des Dryades mauvais.

Au-delà de cela, il s’agit d’une sorte de serpent immense à la gueule dentée. La bestiole possède deux énormes nageoires et des appendices sur son cou qui cachent en réalité des branchies, lui permettant de respirer autant à l’extérieur que sous l’eau. Deux longs tentacules sont présents dans son dos, lui servant de bras au-delà de ses nageoires. Tentacules et nageoires sont pourvus de griffes énormes, lui permettant de déchiqueter ses victimes, mais également de briser les glaces les plus épaisses, ou encore s’accrocher à des parois. A l’aide du gel qu’il produit, il peut également se déplacer sur diverses parois.

Il dégage un souffle intense de froid, les cas les plus violents – soit dans ses plus grandes rages – pouvant atteindre le zéro absolu. En plus de cela, le monstre aime faire part de violence, non pas pour se nourrir, mais simplement parce que c’est dans sa nature. Une véritable abomination.

Le pacte est symbolisé par un cristal qui agit comme un deuxième cœur pour Leafa. Celui-ci se retrouve avec un sang particulièrement froid, lui faisant ne plus craindre ces environnements. Une ronce a été également planté dans sa jambe. Elle s’étant aussi à l’intérieur de son corps jusqu’à la gemme, telle une veine qui s’est trouvée une place dans ce corps en se gelant à lui. S’il essaye de retirer cette ronce ou le cristal, le pacte se brisera, mais seulement lui en perdra la vie.

Histoire du Pacte : En grandissant, Leafa a eu tendance à s’éloigner de plus en plus de son village natale, à découvrir la forêt et plus de ses bienfaits. Ses déplacements se faisaient plus long, ses trajets plus grands, son exploration plus plaisante. Il lui arrivait de s’approcher régulièrement de la zone interdite de la forêt, et d’en ressentir un grand froid. Ce qui n’était pas normal étant donné que la zone était trop basse par rapport à la montagne. Ce froid lui rappelait de ne pas aller plus loin. Parfois, il lui semblait même entendre des bruits étranges provenant de cette direction. Peu de Dryades s’approchant de l’endroit oublié, mais lui l’ayant fait sans le vouloir, il était quasiment sur que la fameuse légende était vraie. Ce qui le faisait encore frissonner.

C’est un jour où il s’était rapproché de cette zone où, faisant demi-tour pour retourner dans son village, il ressentait encore un froid plus intense sur le long du chemin que ce qui devait être. Et ce, pendant les longues heures de marches qui le distançaient de son village. C’est une chose qu’il remarquait, mais qu’il ne se souciait pas plus que cela. Et pourtant, rentrant chez lui, il trouva la zone dévastée, ravagée, avec bien des engelures. Si la forêt était capable de se défendre contre les feux et était assez enracinée pour faire face aux vents violents, le froid était cependant quelque chose d’absolument mortel pour elle. Et à voir les dégâts, il en avait bien la preuve…

Bien des Dryades étaient morts, ensanglantés, ou gelés. Une Dryade, sur le point de mourir, fit signe à Leafa de s’approcher. Dans ses dernières forces, elle expliqua brièvement que c’est à cause d’elle que cela s’est passé. Elle s’était aventurée, sans le vouloir, trop proche de la forêt interdite, et était repartie en espérant ne pas s’y être enfoncée trop. Et, bien qu’elle avait frôlé la zone, elle en subit les conséquences.

Ce n’était qu’autre que le Givrocéphale qui était venu la punir de son affront, dévastant le village sur son passage, avant de repartir dans son antre. Pris de sanglots, il ressenti pour la première un désir de vengeance. Regardant ses griffes de bois, dans une absence de raison, il s’était élancé vers la mystérieuse forêt inhabitée. Tremblant de peur, mais déterminé, il voulut se venger de la créature.

La forêt était étrange, car de nombreux arbres morts, gelés, la parsemées. Ces arbres arboraient des visages effrayants, ce qui donnait le ton. La forêt abritait en son centre un immense lac gelé dépourvu de toute vie. De toute vie, car on pouvait apercevoir à travers une glace étrangement transparente des cadavres de poissons. Mais il y avait surtout, en y regardant bien, des corps de Dryades, parsemés ici et là, gelés à mort, certains déchiquetés…

Aucun bruit. Un silence pesant, sinistre. Une légère brume obstruait un peu le champ de vision. Et aucune odeur dans ce paysage mort. C’était particulièrement sinistre. Le Dryade se croyait arrivé dans une autre dimension. Et ce, jusqu’à entendre un bruit de craquellement. Un bruit de craquellement de glace. Déraisonné, l’esprit de la forêt marcha sur la glace du lac, ressentant qu’elle pouvait supporter son poids. Enfin, il ne se rendit pas compte de jusqu’où il allait, tant il était absorbé par le spectacle morbide des corps animaliers jonchant le fond d’un lac particulièrement transparent, jusqu’à qu’il devienne trop profond.

Et c’est là qu’il perçut un courant. Une forme bouger. Quelque chose de vivant. Une poussée d’adrénaline le fit trembloter, en plus du froid qui l’accablait. Tiens, le froid. Il s’en rendait vraiment compte que maintenant. Sa folie vengeresse lui avait fait ignorer cela. Il revenait à la raison. Il se rendait compte de son erreur. Il n’aurait jamais dû être là.

La glace se brisa d’un coup, plus loin, violemment. Un geyser en sortit, avec un cri effrayant. Un long corps serpentueux et étrange en sortit, géant, se tenant droit depuis le trou qui avait été créé. Le Givrocéphale se présentait à lui, dégageant son souffle froid. Leafa fut transit de peur plus que de froid. Il voulut fuir, mais la créature l’en empêcha en crachant une sorte de rayon, de souffle compact de glace qui l’atteint, gelant ses pieds. Il ne pouvait plus fuir. La monstruosité sortit complètement de son trou, glissant en un éclair jusqu’au Dryade, avant de l’attraper avec ses deux tentacules dorsaux. Elle hurla, tout comme sa victime, avant de se jeter de dos sur la glace afin de la briser et de plonger dans l’eau avec le malheureux esprit de la forêt.

Il fut plongé dans l’eau glacé, ne pouvant rien faire face à la force qui le compressait et qui l’envoyait balader ici et là. En effet, elle s’amusait à sortir et ressortir de l’eau, prenant plaisir à voir l’intrus souffrir. Leafa se disait que c’était la fin, qu’il allait mourir sous ces bains glacés.

Le Givrocéphale finit par le jeter sur la glace, là où elle n’avait été brisée, et s’élança dans un cri horrible sur le Dryade afin de l’achever, alors qu’il était à bout. Mais c’est également à ce moment où il murmurra « Pacte », faiblement, mais dépourvu de croyance que cela réussirait. Le monstre s’arrêta, les griffes de ses nageoires se plantant d’une part et d’autre du corps presque mort. Il approcha sa gueule béante du Dryade, laissant son souffle froid envahir tout le corps du blessé. Il se releva, hurla une nouvelle fois, et s’approcha de nouveau. Il laissa encore une fois son souffle froid entourer le corps de sa victime. Mais contre toutes ses attentes, il n’en ressentit pas la morsure glaciale. Non, cet air expiré suivit un cheminement précis. Matérialisant une gemme sur le bas de son ventre, tandis qu’une ronce entoura sa jambe droite, se plantant dans celle-ci et se fixant à l’aide d’un puissant gel.

Le Givrocéphale avait accepté le pacte.

Lentement, il mena Leafa au-delà du lac, tandis que les blessures de celui-ci semblaient guérir plus vite que prévues. Deux jours plus tard, il rentra, tremblotant, en sanglots, mais accueillit par les siens qui entendirent son récit. Si certains en eurent peur, d’autres furent rassurer de savoir que désormais, le Givrocéphale avait fait un pacte avec un Dryade. Cela ne voulait dire qu’une chose : Leafa était nul autre qu’un descendant des Mancenilliers, et la créature allait pouvoir arrêter de sévir. Néanmoins, il eut énormément de mal à accepter cette créature en tant que pacte, et se mit à détester ses griffes de bois. La douleur sur sa jambe était également intense, mais il finit par s’y habituer, le froid de la gelure calmant cela avec le temps. C’est pour se forcer à accepter ce qu’il était et le cours des événements qu’il décida de ne faire qu’un avec des ronces similaires à celles-ci et qu’il conserva ses griffes qui, il faut bien le dire, étaient bien utiles.


Arme : Des griffes de bois, consolidé par une terre solide placée à l’intérieur de celles-ci. S’il n’est pas un guerrier et prône plutôt la paix et le dialogue, les événements font qu’il a besoin de se défendre et de devenir malgré lui un des rares combattants redoutables Dryade. Celles-ci lui permettent grâce à sa force de se défendre efficacement, mais également faire preuve de certaines prouesses en s’accrochant à divers endroits grâce à celles-ci.

Pouvoirs :
- Etoile : Leafa est né sous une étoile de Terre. Il est ainsi capable de faire réagir le sol, le faire trembler, le soulever ou le creuser, mais aussi manipuler à sa volonté les rochers.
- Pacte : Il peut invoquer le Givrocéphale grâce au cristal qu’il possède. Celui-ci peut apparaitre n’importe où, jusque même dans le monde Onirique.

Contexte : Les Orpans ont attaqué, et ont obtenu ce qu’ils désiraient. Ces aliens n’étaient autres que des habitants du monde Onirique, de la Citadelle, venus coloniser ce monde, avec deux généraux en tête. Les ressources liés aux étoiles en sont leur intérêt premier. Suite à la pose des 4 balises, la fusion a été réalisée, et cet univers devint une partie d’un rêve. Cependant, tout cela ne voulait pas dire que leur réalité n’était plus, et qu’il était impossible de vivre comme avant. Non, Mélias transmit ses volontés à Leafa, son envoyé. Elle désiré qu’il fasse parti de ces résistants de Stellarion, prêt à lutter contre ces envahisseurs pour que leur monde retrouve sa place d’origine, et qu’il n’en soit plus perturbé.

Celui-ci, combattant Dryade, orateur prônant la paix bien qu’ayant du caractère, imbu de lui-même, et surtout possédant le Givrocéphale à ses côtés, il était l’une des personnes les mieux
adaptés pour mener une lutte insensée pour la liberté de Stellarion face au monde créé par les rêveurs.
Evan Asarimé
Evan Asarimé

Messages : 55
Date d'inscription : 02/07/2017

Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut


 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum